La fin des sous-sols habitables ?
[...]Ailleurs dans le monde, on ne construit pas de sous-sols habitables, car on les considère comme des espaces de vie malsains. Il y a de rares exceptions, comme à Londres, où de riches propriétaires agrandissent leur demeure par le sous-sol à cause du prix exorbitant des maisons, mais le phénomène reste marginal.
Un mythe qui a la vie dure
Le mythe du sous-sol habitable a la vie dure au Québec. Ce phénomène relève davantage de l’habitude que de la raison. Il s’est profondément ancré dans nos mœurs à partir des années 1950, quand les excavatrices ont facilité le creusage de fondations[...]
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