La double peine pour les influenceurs africains (rapport)
[...]Le rapport indique cependant que la rémunération directe de la création de contenu en Afrique est compliquée. D’autant plus que la plupart des réseaux sociaux ne prennent en compte que peu de pays africains. Par exemple, YouTube ne prend en compte que 13 pays sur les 55 que compte le continent. Il s’agit de l’Algérie, l’Egypte, le Ghana, le Kenya, la Libye, le Maroc, le Nigeria, le Sénégal, l’Afrique du Sud, la Tanzanie, la Tunisie, l’Ouganda et le Zimbabwe.[...]
https://www.agenceecofin.com/c....omm/3105-119119-la-d
Yves M Noumedem
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