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LES $100 MILLIARDS FANTÔMES: Pourquoi les transferts d'argent construisent l’avenir de tout le monde, sauf le nôtre.

​(Les transferts de la diaspora indienne ont bâti des géants technologiques. Les transferts de la diaspora coréenne ont créé des marques mondiales. Les $100 milliards de dollars de transferts de la Diaspora africaine, la plus vieille des trois diaspora? Ils "disparaissent en frais et dans la "consommation". Voici la douloureuse vérité qu'on ne nous dit jamais—et pourquoi cela doit s'arrêter aujourd'hui.)

​Voici une comparaison qui devrait hanter chacun de nous.

1▪︎ ​ *La Diaspora Indienne* : Leurs 110 milliards de dollars ont bâti *les campus d’Infosys* et financé *la tech de Bangalore* . Leur « réservoir de cerveaux » a créé un cycle vertueux : l'argent envoyé chez eux est revenu sous forme d’investissement mondial.

2▪︎ ​ *La Diaspora Coréenne* : Après la guerre (1953), leurs investissements ont contribué à bâtir les *Hyundai* et *Samsung* . Ils ont transformé une nation déchirée par la guerre, en puissance économique, en une seule génération.

3▪︎ ​ *La Diaspora Africaine* : Nos $100 milliards de dollars et plus? Des "fantômes".
​Ce sont des milliards perdus en 8,4 % de frais moyens — une taxe annuelle brutale sur notre amour et notre devoir.
​C'est un capital immédiatement consommé, piégé dans un cycle de survie, car *les rails pour le transformer en investissement productif n'existent pas.*

Pourquoi cet ecart? Ce n’est pas notre manque de volonté, c’est l’architecture.

Il ne s’agit pas d’un manque de générosité ou d’ambition. C’est une question de structure. La différence réside dans trois domaines essentiels :

1. La nature de notre exode et la fracture géographique :
Les diasporas indienne et coréenne, bien que mondiales, présentaient d’importantes concentrations et des voies de réinvestissement organisées. Notre exode a été différent, poussé par des vagues d’instabilité, les ajustements structurels et une quête d’opportunités qui nous ont dispersés aux quatre vents. Nous sommes profondément ancrés dans le tissu européen et américain, mais cela signifie aussi que *notre puissance économique est géographiquement balkanisée, à l’image du continent lui-même.*
Il nous manque un corridor financier unifié pour canaliser notre force collective.

2. L’emprise financière coloniale qui remonte à la Conférence de Berlin (et qui perdure!) :
C’est le point le plus douloureux. Alors que l’Inde et la Corée ont bâti des systèmes financiers souverains, nous restons rivés au spectre et "règles" du colonialisme. Le symbole ultime ? Les zones francs CFA.
Réfléchissez-y : le XOF et le XAF sont deux versions de la même monnaie coloniale, toutes deux indexées sur l’euro, mais elles ne sont pas interchangeables.
Une entreprise sénégalaise (XOF) ne peut pas facilement payer un fournisseur camerounais (XAF).
Il ne s’agit pas d’un système économique, mais d’un système de contrôle conçu pour privilégier les relations extérieures au commerce intérieur, intra-africain. Nos transferts de fonds transitent par ces réseaux bancaires correspondants obsolètes et coûteux, garantissant qu’une part importante de notre richesse s’échappe avant même de toucher le sol africain.

3. Le piège de l’investissement ou de la survie :
Sans infrastructure/rails de paiement souverain(e)s et efficace(s), notre argent est contraint d’être investi dans la consommation ou à transiter via des circuits d’investissement informels à haut risque. La diaspora indienne pouvait investir en toute confiance dans l’essor technologique indien, car l’infrastructure pour un investissement formel et sécurisé existait.

​ *Nous sommes condamnés à demeurer des "philanthropes pour nos familles," et non des architectes des bàtisseurs pour nos économies.*
Notre argent est apprécié pour son utilisation immédiate, mais le système est conçu pour résister à la transformation en capital productif et durable de nos transferts.

Ce n’est pas un système économique ; c’est un système de contrôle, qui priorise les liens externes et laisse notre richesse fuir par des réseaux obsolètes.

​Ce qui nous a manqué, c'est l'infrastructure souveraine pour nous déployer.

*Jusqu'à Aujourd'hui!*

​C'est pourquoi nous construisons *BreezyPay* avec *₳FRO* et les rails *RISER* . C'est la technologie de libération économique que nous attendions. Nous construisons les artères numériques pour contourner ce "cœur financier colonial".

■ *​₳FRO Stablecoin* : Une réserve de valeur panafricaine pour régler les échanges entre Dakar, Douala, Lagos et Nairobi, Bangui et Cape Town, etc. sans plus dependre, demander de permission externe.

​ ■ *RISER* : La sève numérique pour la ZLECAf (Zone de Libre-Échange Continentale Africaine), permettant à un entrepreneur de la diaspora d'investir à Kigali instantanément.

​Les $100 Milliards Fantômes sont sur le point de devenir une Fondation de 100 Milliards.

*Il ne s'agit point de blâmer notre passé. Il s'agit d'assumer une responsabilité radicale pour notre avenir.*

​Nous sommes un géant endormi. Et nous nous réveillons.

​Rejoignez le mouvement. Devenez les artisans et co-propriétaires de ces rails.

​ *Rejoignez le Programme Beta BreezyPay* : Façonnez l'avenir de la finance numérique africaine!
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