🔴 Les actions chutent de 20 % – Trump s'en fiche. Mais les obligations montent de 40 pb – Trump capitule. Pourquoi ?

Trump, en tant que citoyen, n'apprécie pas les droits de douane. Mais en tant que chef d'État, il n'a d'autre choix que de les imposer.

Comment ?
La réponse a été donnée par le secrétaire d'État Marco Rubio :

« Si nous continuons sur cette voie, dans moins de 10 ans, pratiquement tout ce qui compte pour nous dans la vie dépendra de la volonté de la Chine de nous l'imposer ou non. »

Comment cette affirmation est-elle vraie ?

Parce que les États-Unis, avec leurs déficits budgétaires et commerciaux persistants et leur priorité donnée aux profits des entreprises plutôt qu'à la capacité industrielle, ont désindustrialisé le pays.

L'Amérique ne peut plus produire de biens industriels à grande échelle.

En 2023, les États-Unis n'ont construit que 5 navires, tandis que la Chine en a construit 1 800.

Ce n'est qu'un exemple parmi d'autres ; le même scénario s'applique à de nombreux secteurs.

Pour relancer l'industrie, Trump devait imposer des droits de douane.

En quoi cela serait-il utile ?

En temps de guerre, le pays qui gagne est celui qui possède la plus grande capacité industrielle. C'est ainsi que les États-Unis ont remporté deux guerres mondiales.

Le début de la guerre en Ukraine a rappelé ce fait aux États-Unis.

Des millions de dollars d'équipements américains ont été détruits par des drones chinois de 3 000 à 4 000 dollars. Cela a révélé l'inefficacité des États-Unis en matière d'armement et de production industrielle.

En tant que président, Trump devait s'en préoccuper. Il n'avait d'autre choix que de faire pression en faveur des droits de douane, même s'ils ne permettaient de relancer que quelques industries.

Mais les droits de douane n'ont pas fonctionné comme prévu.

Comment ?

Trump a compris que les droits de douane impacteraient durement le marché boursier. Pour se défendre contre cette chute, l'administration a mis en avant un discours.

Lequel ? Son secrétaire au Trésor, Scott Bessent, a déclaré lors d'une interview : « Seuls 10 % de la population détient 88 % des actions américaines, et Trump se soucie davantage des 90 % restants. »

Le message était clair : Trump soutient Main Street, pas Wall Street.

Au départ, le discours a fonctionné.

Mais le marché obligataire a ensuite connu des difficultés.

D'habitude, lorsque les actions s'effondrent, le marché obligataire reste calme ; les gens s'y réfugient pour se protéger. Mais cette fois, au lieu de baisser, les rendements ont augmenté.

Le marché obligataire s'est révolté en raison des positions commerciales et budgétaires irresponsables des États-Unis. Les déficits persistants dans ces deux secteurs ont envoyé un mauvais signal.

Trump a ignoré la chute de 20 % des actions et a cédé au marché obligataire. Pourquoi ?

Parce que les obligations sont le fondement du système financier.

Les banques gèrent leurs opérations quotidiennes grâce à des prêts à court terme garantis par des obligations.

Les entreprises lèvent des liquidités et répondent à leurs besoins à court terme, comme les salaires, via les marchés monétaires, garantis par des obligations.

Si le marché obligataire vacille en raison de la hausse des rendements, c'est tout le système qui est en danger.

Il était proche de l'effondrement.

Jamie Dimon, le roi de Wall Street, a appelé Trump et lui a dit qu'il fallait agir.

Trump a donc cédé et a retardé les droits de douane de 90 jours.

Trump l'ignore peut-être, mais le marché obligataire a fait tomber plus d'empires qu'il ne peut en nommer.

Trump est puissant, mais pas plus que le marché obligataire.
Publication de Marjanul Islam traduite par moi-même

LA CHINE DÉVOILE UN SYSTÈME DE PAIEMENT NUMÉRIQUE MONDIAL, CONTOURNANT SWIFT ET LE DOLLAR

La Banque populaire de Chine a officiellement lié son yuan numérique (RM à 10 pays de l'ASEAN et à 6 pays du Moyen-Orient, représentant ensemble 38 % du commerce mondial.

Cette initiative contourne totalement le système SWIFT et le dollar américain. Les transactions sont désormais réglées en seulement 7 secondes, contre 3 à 5 jours habituellement. Les frais ont baissé de 98 %.

Les négociants en énergie du Moyen-Orient ont déjà adopté cette solution. Le volume des échanges en RMB de l'ASEAN a atteint 5 800 milliards de yuans, et la Thaïlande a même réglé ses transactions pétrolières en RMB numérique.

Alors que les États-Unis débattent encore des implications des monnaies numériques, la Chine a discrètement construit une infrastructure mondiale couvrant 200 pays.

Il s'agit bien plus qu'un simple réseau de paiement : c'est la Route de la Soie numérique en marche. La dédollarisation n'est plus une théorie. Cela se passe en ce moment même.

📊 Capitalisation boursière des six grandes banques canadiennes : Malgré le versement de dividendes importants, la capitalisation boursière de quatre des six grandes banques canadiennes a plus que doublé au cours de la dernière décennie.

📈La capitalisation boursière de la Banque Nationale du Canada, de la 𝗖𝗜𝗕𝗖, de la 𝗥𝗕𝗖 et de la 𝗮𝗻𝗱𝗲 𝗕𝗠𝗢 a augmenté respectivement de 202 %, 146 %, 142 % et 122 % au cours des dix dernières années.

🔹 Comprendre la capitalisation boursière
La capitalisation boursière reflète la valeur marchande totale d’une entreprise et se calcule en multipliant le cours actuel de l’action par le nombre total d’actions en circulation. Plusieurs facteurs peuvent influencer l'évolution de la capitalisation boursière, notamment :

A. Résultats financiers
B. Potentiel de croissance future
C. Sentiment du marché et perception des investisseurs
D. Performance globale du secteur
E. Mobilisation de capitaux pour l'investissement par l'émission de nouvelles actions
F. Fusions et acquisitions (F&A)

💡 Croissance stratégique grâce aux fusions et acquisitions de croissance :
De nombreuses banques canadiennes ont activement utilisé les fusions et acquisitions comme stratégie pour accroître leur valeur marchande et étendre leur présence.

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Publication LinkedIn de Hanif Bayat, Ph.D. traduite par moi.

🔴 Les économistes ne peuvent rien détester plus que cette image.  
Pourquoi ? 

Pour commencer, répondez à une question simple :  
Que voulez-vous ?  
Plus d'argent ou le plus grand pouvoir d'achat ? 

Simplifions la question.  
Voulez-vous 1 000 dinars irakiens ou 10 dollars américains ? 

Si vous êtes une personne normale, vous préférerez toujours 10 dollars américains à 1 000 dinars irakiens. 

Mais 1 000 n'est-il pas plus que 10 ? Alors pourquoi demandez-vous moins plutôt que plus ? 

Car en matière d'argent, le montant ou le nombre importe peu. Seul le pouvoir d'achat, c'est-à-dire ce que l'argent peut acheter sur le marché, compte. 

Le pouvoir d'achat est au cœur de l'argent. 

Toute personne sensée préfère toujours 10 dollars américains à 1 000 dinars irakiens.


Mais les économistes ont un point de vue étrange.

Quel est-il ?

Si vous demandez à un économiste pourquoi le gouvernement a besoin d'imprimer de la monnaie,
pourquoi la masse monétaire doit continuer à augmenter,
il répondra toujours :

« Une économie en croissance a besoin d'une masse monétaire croissante », ce qui signifie que la croissance économique nécessite plus de monnaie.

Ils croient aux chiffres, aux sommes totales, et non au pouvoir d'achat.

Mais vous savez maintenant que tout le monde, à l'exception des économistes, ne se soucie que du pouvoir d'achat, et non de la quantité totale d'argent. Et c'est absolument vrai partout dans le monde.

Alors pourquoi les économistes pensent-ils différemment ?

À cause de leur carrière.
Si les économistes disaient la vérité, leur carrière s'arrêterait là.

Pourquoi ?
Car si les gouvernements cessent d'imprimer de la monnaie, ils ne pourront plus honorer leurs obligations en matière de dette.

Aucun gouvernement du monde ne parviendrait à rembourser sa dette et ses intérêts sans imprimer de la monnaie fraîche.

Ainsi, l'impression monétaire (l'inflation) est ce qui maintient la solvabilité des gouvernements du monde entier.

Et si les gouvernements s'effondrent, le système monétaire fiduciaire s'effondre avec eux.

Si cela se produit, le système économique, ainsi que les économistes qui le défendent, s'effondrent également.

Qui souhaite mettre fin à sa carrière ?
Qui ne souhaite pas bénéficier d'un salaire élevé ?

La réponse : « Personne ».

C'est pourquoi les économistes ne cessent de répéter :

« Une économie en croissance a besoin d'une masse monétaire croissante. »
« L'inflation est une condition préalable à la croissance économique. »
« Une économie ne peut fonctionner sans une augmentation continue de sa base monétaire. »

Mais vous savez maintenant que toutes ces affirmations ne sont que des balivernes. Et pour le prouver, cette seule photo suffit.

Cette photo > leur DHP (Lire ci-contre)
Publication LinkedIn de Marjanul Islam, traduction faite par moi.

💡 Voici comment ils vous cachent l'inflation.
Imaginons que vous gagniez 100 000 $ par an. On vous annonce que l'inflation n'est que de 2 %, vous vous attendez donc à perdre 2 000 $ de pouvoir d'achat. Pas terrible, mais gérable, non ?

Puis, vous constatez qu'en réalité, vous pouvez acheter bien moins de 98 % de ce que vous pouviez acheter auparavant avec la même somme d'argent fiduciaire. Qu'est-ce qui se passe ?

Voici l'astuce :
📉 L'indice des prix à la consommation (IPC) ne mesure qu'un panier restreint de biens :
📦 Il ignore les actifs financiers.
🏠 Il minimise l'importance du logement.
📚 Il ne reflète pas les coûts réels de l'éducation et des soins de santé.

Pendant ce temps, votre logement, votre loyer, votre alimentation, vos assurances et vos investissements deviennent tous plus chers, mais sans que l'IPC ne les reflète (ou pas entièrement).

C'est pourquoi vos revenus peuvent « augmenter » sur le papier… alors que vous réalisez que vous êtes à la traîne.

En réalité :
🔸 L'IPC est un chiffre politique.
🔸 L'inflation monétaire est la véritable réalité.
🔸 La monnaie fiduciaire perd de la valeur bien plus vite que les chiffres officiels ne l'admettront jamais.

En coulisses, la masse monétaire a augmenté de 363 % depuis 2000, tandis que l'IPC « officiel » n'a augmenté que de 88 %.

Voilà pourquoi le Bitcoin est important.
Ce n'est pas seulement un actif, c'est un bouclier. 🟠