Starlink: A Recipe for Digital Colonization.

By Engr. Chigozie Chukwuemeka Ononiwu.

The launch of the European Union's IRIS2 programme marks a significant milestone in the quest for digital sovereignty. This bold initiative is a direct response to the looming threat of Elon Musk's Starlink, a satellite constellation that poses significant risks to humanity, particularly in developing economies.

As the world becomes increasingly dependent on digital technologies, the need for a secure, autonomous, and equitable digital infrastructure has never been more pressing. However, Starlink's unchecked growth and dominance in the satellite internet market raise serious concerns about monopolistic control, digital colonization, unaffordable pricing, surveillance and data exploitation, and environmental impact.

The implications of Starlink's dominance are far-reaching. With its global reach and control over the digital infrastructure, Starlink can dictate the terms of access, pricing, and content, effectively stifling innovation and limiting access to competing services. This is a recipe for digital colonization, where developing economies become dependent on a single, foreign-controlled network, eroding their sovereignty and autonomy.

Furthermore, Elon Musk's oligopolistic and authoritarian tendencies pose a monumental and existential threat to humanity. His track record of suppressing dissent, manipulating public opinion, and disregarding regulatory oversight is alarming. With Starlink, Musk is poised to wield unprecedented control over the global digital infrastructure, enabling him to shape the narrative, suppress dissenting voices, and dictate the terms of access to information.

For instance, in Africa, where internet penetration is still relatively low, Starlink's dominance could lead to a situation where the continent's digital future is controlled by a single foreign entity, with Musk as the de facto gatekeeper. This would not only undermine Africa's digital sovereignty but also limit the continent's ability to develop its own digital infrastructure and services.

The potential for mass surveillance and data exploitation is also a major concern, particularly in regions with limited regulatory oversight. With its global reach and control over the digital infrastructure, Starlink can collect and analyze vast amounts of data on individuals and organizations, posing significant risks to privacy and security.

The environmental impact of Starlink's deployment of thousands of satellites is another critical issue. The risk of space debris, interference with astronomical research, and potential impacts on Earth's ecosystems are all pressing concerns that require immediate attention.

In contrast, the EU's IRIS2 programme offers a beacon of hope for a more equitable and sustainable digital future. By promoting digital sovereignty and reducing dependence on foreign-controlled networks, the IRIS2 programme can help to create a more level playing field for innovation and access to digital services.

The IRIS2 programme is also designed to promote the development of secure and resilient digital infrastructure, which is critical for protecting against cyber threats and ensuring the integrity of digital services.

By supporting the development of European digital infrastructure, the IRIS2 programme can help to reduce the EU's dependence on foreign-controlled networks and promote a more autonomous and secure digital future.

As we embark on this new era of digital transformation, it is imperative that we prioritize the needs of humanity over the interests of corporate giants like SpaceX. The EU's IRIS2 programme is a step in the right direction, and it is essential that we support and amplify this initiative to ensure a more equitable and sustainable digital future for all.

#saynotodigitalcolonization

QUESTION: Peut-on affirmer que l'industrue des paiements est constituée d'une plethore d'intermediaires d'où les frais élevés et la persistance des fraudes telles via les cartes de crédit?

REPONSE: OUI, on peut le dire. L'industrie des paiements est très complexe et comprend de nombreux intervenants, dont les banques, les processeurs de paiement, les réseaux de cartes de crédit, etc. Chacun de ces intermédiaires a des coûts opérationnels qui sont souvent répercutés sur les commerçants et les consommateurs sous forme de frais.

De plus, le fait qu'il y ait autant d'intermédiaires dans le processus peut donner lieu à des failles de sécurité, qui peuvent parfois être exploitées par des fraudeurs. C'est particulièrement vrai dans le cas des paiements par carte de crédit, qui ont été l'une des principales cibles des fraudeurs au fil des ans.

Toutefois, cela ne signifie pas que l'industrie des paiements est condamnée à rester comme ça pour toujours. De nombreuses entreprises de la fintech s'efforcent de simplifier le processus de paiement et de réduire les frais associés, tout en renforçant la sécurité pour prévenir les fraudes.

Faut-il constituer une réserve de Bitcoin?

[...] l’idée de constituer une des réserves de bitcoins pour les états devient de plus en plus «à la mode» et les États-Unis pourraient même y céder[...]

[...]Qu’est ce que cela veut dire concrètement?
Une réserve stratégique de bitcoins est un stock de bitcoins détenu par un gouvernement, destiné à servir d’outil de stabilité économique ou financière, de la même manière que les réserves stratégiques de pétrole gèrent les approvisionnements en pétrole pendant les crises.

Ses partisans affirment que le bitcoin pourrait servir de couverture contre l’inflation et la volatilité du marché, le positionnant comme un actif de sécurité nationale, au même titre que l’or ou le pétrole.[...]

https://www.lesaffaires.com/op....inions/faut-il-const

"Celui qui devient esclave de l'habitude meurt lentement, répétant tous les jours les mêmes chemins... meurt lentement qui fait de la télévision son gourou... Meurt lentement celui qui ne voyage pas, qui ne lit pas, qui n'écoute pas de musique, qui ne pense pas à la grâce en soi, meurt lentement celui qui détruit son amour-propre, meurt lentement celui qui ne se laisse pas aider, qui passe ses journées à se plaindre de sa malchance ou de la pluie incessante. Évitons la mort dans des proportions douces, en se rappelant toujours qu'être en vie demande plus d'efforts que le simple fait de le faire respirer... "

Pablo Neruda

la loi du donnée et du recevoir.
Tout se resume à ça.

-Tu reçois ce que tu donne.
Tu penses positif, tu reçois la bonne humeur et le bonheur

-Tu donnes des offrandes, tu reçois la grace divine.

-Tu investir avec prudence, tu reçois un retour sur investissement

-Tu donnes de l'amour, tu reçois de l'amour en retour.

-Tu penses négativement, tu es de mauvaise hummeur
etc....

voir cette vidéo pour comprendre tout le sens de la vie

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QUESTION: Qu'est ce que les BRICS et portent'ils la voix de l'Afrique?

REPONSE: Les BRICS sont un groupe composé de cinq pays émergents : le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud. L'acronyme BRICS a été créé en 2001 par l'économiste Jim O'Neill pour décrire les puissances émergentes qui devaient devenir, avec les États Unis, les six économies les plus puissantes du monde au cours du premier quart du XXIe siècle.

En 2010, l'Afrique du Sud a rejoint le groupe, ajoutant un "S" à l'acronyme initial. L'inclusion de l'Afrique du Sud dans les BRICS a été motivée par la nécessité de représenter le continent africain dans le groupe. Cela a été une reconnaissance de l'importance économique croissante de l'Afrique sur la scène mondiale.

Sur la question de savoir si les BRICS portent la voix de l'Afrique, la réponse est nuancée. L'Afrique du Sud représente le continent africain au sein des BRICS mais il serait inexact de dire que les BRICS portent la voix de l'ensemble de l'Afrique.

D'une part, l'Afrique du Sud, en tant que membre des BRICS, peut porter certains problèmes et préoccupations africains sur l'agenda du groupe. C’est notamment censé être le cas lorsque sont discutés des questions touchant à l’économie mondiale, la paix et la sécurité, qui ont toutes un impact majeur sur le continent africain.

Cependant, d'autre part, l'Afrique du Sud ne peut pas parler au nom de tous les pays africains et leurs intérêts spécifiques. L'Afrique est un continent extrêmement diversifié avec de nombreux pays ayant des défis et des opportunités uniques. Certains ont même critiqué la représentation de l'Afrique du Sud, arguant que le pays ne fait pas assez pour porter les intérêts de l'ensemble du continent.

En conclusion, bien que l'Afrique du Sud, en tant que membre des BRICS, puisse représenter certains intérêts africains, il est impropre de dire que les BRICS portent la voix de l'Afrique dans son ensemble.

QUESTION: Peut on affirmer que la chine doit sa puissance aujourd'hui à la technologie?

REPONSE: En grande partie oui, on peut affirmer que la Chine doit sa puissance économique actuelle à la technologie. Ces dernières décennies, la Chine a massivement investi dans le secteur de la technologie, en particulier dans les domaines de l'électronique, de l'informatique et de l'intelligence artificielle.

Ces investissements ont non seulement permis à la Chine de produire une grande partie des technologies et gadgets électroniques que nous utilisons au quotidien, mais ils ont également permis à la Chine de développer sa propre industrie technologique hautement compétitive. Des géants comme Huawei, Alibaba, Tencent et ByteDance (propriétaire de TikTok) sont désormais connus dans le monde entier.

En outre, la technologie a également été un outil efficace pour le gouvernement chinois pour renforcer son pouvoir à l'interne, grâce à l'utilisation généralisée de la surveillance numérique et de la censure sur internet.

Cependant, il est également important de noter que la puissance de la Chine ne peut pas être attribuée à la technologie uniquement. Des facteurs tels que sa population massive, sa politique industrielle efficace, ses investissements massifs dans l'infrastructure et l'éducation, et une forte volonté politique de devenir une superpuissance mondiale ont également joué un rôle crucial dans l'ascension de la Chine.

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