Vraiment !

L’Université est-elle condamnée à disparaître ?
Il est des évolutions qu’on refuse de voir, parce qu’elles paraissent si folles qu’on ne prête pas attention à tous les signes qui les annoncent. Et quand elles se produisent, on s’étonne, on admire, ou on crie au scandale. Il est alors trop tard.

Ainsi, par exemple, de ce qui est en train d’arriver mondialement aux universités et aux grandes écoles.

D’abord, mis à part quelques-unes, très bien dotées, ces universités souffrent d’une faiblesse structurelle de financement. En particulier dans les pays émergents. Ensuite, une partie de plus en plus importante des cursus d’enseignement, dans pratiquement tous les domaines, est de plus en plus composée de stages dans des entreprises, rejoignant ainsi l’enseignement professionnel.

Évolution plus récente, dans de très nombreux pays, en particulier là où les études supérieures sont financées par les étudiants, des entreprises viennent expliquer aux meilleurs lycéens en fin d’études secondaires (à la sortie du collège aux États-Unis) qu’ils n’auraient rien à gagner à s’endetter pour entrer dans une université alors que l’entreprise se propose de les engager tout de suite, de les former, de les rémunérer, arguant aussi que les universités ne sauraient avoir le même niveau de compétence dans les technologies de pointe.

On voit ainsi apparaître, de plusieurs façons, des programmes de formation supérieure à l’intérieur des entreprises.

On voit aussi apparaître des universités sans professeurs, où les élèves se forment entre eux, avec des encadrants lointains. On voit enfin apparaître des universités privées, virtuelles, n’ayant aucune réalité physique, délivrant des diplômes imaginaires fait d’une juxtaposition de stages dans des entreprises. L’entreprise est donc, subrepticement en train de devenir le cadre, d’abord partiel, puis total, de l’enseignement supérieur. Cela pourrait entraîner l’effondrement des systèmes d’enseignements supérieurs, qui perdront leurs meilleurs élèves et leurs meilleurs enseignants, et des sources de revenus.

Un pas reste à franchir, et qui le sera, d’une façon ou d’une autre, par une école, une université, puis par beaucoup d’autres : proposer un cursus entier réservé aux futurs employés d’une entreprise spécifique, qui le financerait, et qui accorderait une rémunération aux meilleurs étudiants, pour se réserver leurs services une fois le diplôme obtenu. Les grandes entreprises qui s’y lanceront auront tout à y gagner, en formant exactement ceux dont ils auront besoin et en étant conduit, ainsi, à définir plus précisément leurs besoins. Les universités qui s’y prêteront auront des revenus nouveaux, particulièrement bienvenus dans les pays où les États sont impécunieux ; elles deviendront ainsi progressivement des universités d’entreprises.
https://www.attali.com/societe..../luniversite-est-ell

Québec cesse de recruter des infirmières en Afrique pour des raisons « éthiques »
Québec souhaite poursuivre le recrutement de personnel infirmier à l’étranger, mais n’ira plus en solliciter dans certains pays, comme le Maroc et le Cameroun, en réponse aux pressions internationales.
Depuis deux ans, le Québec a recruté autour de 1000 infirmières en Afrique, en particulier au Cameroun, au Maroc et en Côte-d’Ivoire.

À ce jour, le programme de 65 millions $ a suscité un tel engouement que le gouvernement veut recruter 235 candidats supplémentaires à l’étranger pour combler ses besoins en main-d’œuvre.

Or, Radio-Canada a appris que le recrutement cesse dans tous les pays d’Afrique, sauf la Tunisie. Et ce, pour des raisons éthiques.

Dans une démarche de recrutement éthique et de respect des populations locales, la promotion a ciblé les pays dont les gouvernements ont autorisé les actions de recrutement du Québec.

Une citation dePorte-parole du MIFI
Selon nos informations, le Cameroun, la Côte d’Ivoire et le Maroc ne figurent plus parmi les destinations de recrutement du Québec.
https://ici.radio-canada.ca/no....uvelle/2108988/recru

ici.radio-canada.ca

Québec cesse de recruter des infirmières en Afrique pour des raisons « éthiques » | Radio-Canada

Radio-Canada a appris que le recrutement cesse dans tous les pays d’Afrique, sauf la Tunisie. Et ce, pour des raisons « éthiques ».

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QUELS SONT LES ATOUTS DONT DISPOSE L'AFRIQUE POUR SON DÉVELOPPEMENT?
Par ALEERROO

1. Ressources naturelles : L'Afrique est dotée de vastes ressources naturelles, notamment des minéraux, du pétrole, du gaz naturel, des diamants, de l'or, de la bauxite, de l'uranium, pour n'en citer que quelques-unes. Ces ressources, si elles sont gérées et utilisées de manière appropriée, peuvent être une source importante de revenus et de développement économique.

2. Agriculture : L'Afrique dispose d'une grande quantité de terres arables qui peuvent être utilisées pour la production agricole. Avec une irrigation, une technologie et des infrastructures appropriées, ce secteur peut créer des emplois, de la nourriture pour la population et des produits d'exportation.

3. Capital humain : L'Afrique est le continent le plus jeune. Cette jeune population pourrait former une main-d'œuvre productive et innovante qui peut stimuler la croissance économique du continent.

4. Biodiversité : La riche biodiversité de l'Afrique, y compris sa faune et ses paysages pittoresques, offre un énorme potentiel pour l'écotourisme.

5. Potentiel en énergies renouvelables : L'Afrique a un énorme potentiel en matière d'énergies renouvelables, en particulier l'énergie solaire et éolienne. L'exploitation de ces ressources pourrait fournir de l'électricité à un prix abordable à de nombreux Africains et créer des emplois dans le secteur des énergies renouvelables.

6. Emplacement stratégique : Certains pays africains sont stratégiquement positionnés le long d'importantes routes commerciales maritimes, ce qui peut attirer des investisseurs et stimuler le commerce et l'économie.

7. Richesse culturelle : La diversité des cultures, des langues et des traditions de l'Afrique est un atout qui a du potentiel pour les industries créatives telles que les arts, la musique, le cinéma et la mode.

8. Ressources côtières et marines : L'Afrique possède un long littoral avec accès à plusieurs mers, océans et plans d'eau. Cela donne à l'Afrique un énorme potentiel pour le développement de ses industries de la pêche, du transport maritime et du tourisme.

9. Marchés inexploités : L'Afrique possède de nombreux marchés et industries inexploités. Avec les bons investissements, le développement des infrastructures et les politiques gouvernementales, ces secteurs peuvent contribuer de manière significative au développement de l'Afrique.

WHAT ARE THE ASSETS FOR AFRICA'S DEVELOPMENT?
By ALEERROO
(La traduction en franssais dans les commentaires)

1. Natural Resources: Africa is endowed with vast natural resources, including minerals, oil, natural gas, diamonds, gold, bauxite, uranium, to name a few. These resources, if appropriately managed and utilized, can be a significant source of revenue and economic development.

2. Agriculture: Africa has a large amount of arable land that can be used for agricultural production. With proper irrigation, technology, and infrastructure, this sector can create jobs, food for the population, and export products.

3. Human Capital: Africa is the youngest continent. This young population could form a productive and innovative labor force that can drive the continent's economic growth.

4. Biodiversity: The rich biodiversity of Africa, including its wildlife and scenic landscapes, provide enormous potential for eco-tourism.

5. Renewable Energy Potential: Africa has enormous potential for renewable energy, particularly solar and wind energy. Harnessing these resources could provide affordable electricity for many Africans as well as create jobs in the renewable energy industry.

6. Strategic Location: Some African countries are strategically positioned along important maritime trade routes, which can attract investors and boost trade and economy.

7. Cultural Richness: Africa's diverse cultures, languages, and traditions are an asset that has potential for creative industries such as arts, music, film, and fashion.

8. Coastal and Marine Resources: Africa has a long coastline with access to several seas, oceans and water bodies. This gives Africa huge potential for the development of its fisheries, maritime transport, and tourism industries.

9. Untapped Markets: Africa has many untapped markets and industries. With the right investment, infrastructure development, and government policies, these sectors can significantly contribute to Africa's development.

Le prix du Bitcoin ne cesse d', augmenter ces derniers temps, entraînant avec lui ceux des crypto-monnaies. Et beaucoup se posent de plus en plus de questions, telles que " Sommes-nous maintenant confrontés à un marché haussier ? " ou "Le Bitcoin est-il en train de devenir un courant dominant ?"
Examinons 5 indicateurs clés :

1️⃣ Distribution via les banques :
De plus en plus de banques obtiennent des licences pour le commerce et la garde de crypto-monnaies. Cela inclut Commerzbank, DZ Bank, V-Bank, et d'autres qui ont lancé des services de crypto. Bien qu'il existe de vastes possibilités d'acheter du Bitcoin et de la Crypto aujourd'hui, la distribution via les banques est essentielle car la majorité de la population fait confiance aux banques et je vois une forte probabilité pour les personnes qui ne sont pas familières avec la crypto en utilisant leurs services. La plupart des offres bancaires se concentrent aujourd'hui sur les entreprises, mais des progrès massifs sont visibles. Néanmoins, cela pourrait prendre un certain temps jusqu'à ce que les clients de détail puissent acheter et échanger des crypto-monnaies avec leurs banques.

2️⃣ Intérêt public :
Google Search Trends montre : l'intérêt considérablement accru après les nouvelles de l'ETF plus tôt cette année, mais pas exceptionnellement plus élevé. Actuellement, il est à peu près au même niveau qu'avant l'actualité de l'ETF.

3️⃣ Détention de Bitcoin en Allemagne :
Des études montrent entre 6% (Bundesbank) et 11% (Bitpanda/YouGov) . Il y a une tendance à la hausse claire, mais une interprétation précise est difficile car les études fournissent des résultats si différents.

4️⃣ Présence dans la vie quotidienne :
Il y a de plus en plus d'activités de parrainage (par exemple, Bitpanda avec le Bayern Munich, l'AC Milan, DAZN, NFL) . Je pense que c'est une décision intelligente en raison de la portée énorme que le football en Europe ainsi que le football américain aux États-Unis ont. Nous pouvons clairement observer une visibilité accrue dans les médias et la publicité.

5️⃣ Innovations et développements :
L'espace crypto reste très innovant, les institutions financières tant traditionnelles que Neobanques continuent également à proposer de plus en plus d'offres crypto (par exemple, Mastercard, Revolut, Standard Chartered au cours du dernier mois) .
🎯 Conclusion : Le développement est positif, cependant La sensibilisation, la convivialité et un vaste réseau de distribution favoriseront l'adoption.
Qu'en pensez-vous? Le Bitcoin est-il en passe de devenir un courant dominant ?
Source: mes opinions, post LinkedIn de Dr. Jonas Gross’ Post, image Bitcoin de XENN

💥🤯Indépendance financière : Le Salvador envoie les fameuses institutions de Bretton Wood ( FMI & Banque Mondiale se balader 🤯💥

"Les risques liés au #bitcoin pour la stabilité financière et la protection des consommateurs sont significatifs".
C'est sous ces mots que Le FMI a averti plusieurs fois depuis 2021 lorsque le Salvador adoptait de Bitcoin comme monnaie légale faisait peser des risques considérables pour les finances publiques et pourrait rendre la gestion de la dette plus complexe.
Le FMI a mis en garde contre un éventuel déséquilibre des finances publiques, exacerbées par l'adoption du Bitcoin, soulignant que le pays accumulait une dette publique élevée et faisait face à des besoins importants de financement externe.
Le FMI avait d'ailleurs refusé un prêt au Salvador. Mais la réalité aujourd'hui n'a que faire de ces déclarations.
Nayib Bukele Président de la république du Salvador a récemment annoncé qu'à partir de 2025, le Salvador atteindra l'indépendance financière. Plus de dépendance à des prêts ou de l'aide internationale pour équilibrer le budget national.

Pour la première fois depuis des décennies, le pays financera 100% de ses dépenses publiques avec ses propres ressources.
Un rêve doux pour la majorité des pays, notamment la RCA, qui en 2022 à la suite du Salvador a adopté le Bitcoin comme monnaie légale au côté du FCFA, mais faute de gestion rigoureuse, continue à dépendre le FMI autres bailleur de fonds, tout en étant assise sur des ressources naturelles.
Source: mes opinions, post LinkedIn de Nathan Jaron, image de la revue Times