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Con Đường Mai Vàng Ở TP.HCM – Sắc Xuân Ngập Tràn Giữa Lòng Thành Phố



Mỗi dịp Tết đến xuân về, người dân Thành phố Hồ Chí Minh lại háo hức đón chờ những không gian lễ hội rực rỡ, mang đậm bản sắc văn hóa dân tộc. Năm nay, không khí Tết Giáp Thìn 2024 càng thêm đặc biệt với sự xuất hiện của Con đường mai vàng

https://yeumaivang.com/
https://yeumaivang.com/cach-chon-chau-trong-mai-vang-dep-hop-voi-the-cay/
https://yeumaivang.com/vuon-mai-vang/

Yêu Mai Vàng - Kết nối cộng đồng chơi Mai Vàng Việt Nam
yeumaivang.com

Yêu Mai Vàng - Kết nối cộng đồng chơi Mai Vàng Việt Nam

Cộng đồng yêu mai vàng, nơi giao lưu, học hỏi, chia sẻ kinh nghiệm, kỹ thuật chăm sóc mai, kết nối nghệ nhân chơi mai trên mọi miền tổ quốc.

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This is how our towns look like in the Fall 🍂🍁

7 w - Port de Montréal, Avenue Pierre-Dupuy, Montréal, QC, Canada.

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Vraiment !

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https://www.openpr.com/news/41....99737/global-sandalw

Global Sandalwood Oil Market to Double to USD 0.2 Billion by 2032,
www.openpr.com

Global Sandalwood Oil Market to Double to USD 0.2 Billion by 2032,

Press release - Market Research Future (MRFR) - Global Sandalwood Oil Market to Double to USD 0.2 Billion by 2032, Advancing at 6.99% CAGR - published on openPR.com
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Uganda wants to link its entire economy with a $5.5 billion digital infrastructure project

[...]Diacente Group, a Ugandan company that develops green industrial zones, has partnered with US-based Global Settlement Network (GSN) on a $5.5 billion plan to build a national digital infrastructure that links Uganda’s farms, mines, power projects, and factories.

The project also includes a pilot of Uganda’s first central bank digital currency (CBDC), the digital shilling, backed by treasury bonds. The CBDC will allow millions of Ugandans to send, receive, and save money on their phones while tying financial activity directly to real economic activities.[...]

https://techcabal.com/2025/10/....08/uganda-digital-in

Uganda’s $5.5 billion digital project will link farms, mines, factories
techcabal.com

Uganda’s $5.5 billion digital project will link farms, mines, factories

Uganda’s Diacente Group teams up with US-based firm to develop a $5.5B national infrastructure powering the rollout of a digital shilling.
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LES $100 MILLIARDS FANTÔMES: Pourquoi les transferts d'argent construisent l’avenir de tout le monde, sauf le nôtre.

​(Les transferts de la diaspora indienne ont bâti des géants technologiques. Les transferts de la diaspora coréenne ont créé des marques mondiales. Les $100 milliards de dollars de transferts de la Diaspora africaine, la plus vieille des trois diaspora? Ils "disparaissent en frais et dans la "consommation". Voici la douloureuse vérité qu'on ne nous dit jamais—et pourquoi cela doit s'arrêter aujourd'hui.)

​Voici une comparaison qui devrait hanter chacun de nous.

1▪︎ ​ *La Diaspora Indienne* : Leurs 110 milliards de dollars ont bâti *les campus d’Infosys* et financé *la tech de Bangalore* . Leur « réservoir de cerveaux » a créé un cycle vertueux : l'argent envoyé chez eux est revenu sous forme d’investissement mondial.

2▪︎ ​ *La Diaspora Coréenne* : Après la guerre (1953), leurs investissements ont contribué à bâtir les *Hyundai* et *Samsung* . Ils ont transformé une nation déchirée par la guerre, en puissance économique, en une seule génération.

3▪︎ ​ *La Diaspora Africaine* : Nos $100 milliards de dollars et plus? Des "fantômes".
​Ce sont des milliards perdus en 8,4 % de frais moyens — une taxe annuelle brutale sur notre amour et notre devoir.
​C'est un capital immédiatement consommé, piégé dans un cycle de survie, car *les rails pour le transformer en investissement productif n'existent pas.*

Pourquoi cet ecart? Ce n’est pas notre manque de volonté, c’est l’architecture.

Il ne s’agit pas d’un manque de générosité ou d’ambition. C’est une question de structure. La différence réside dans trois domaines essentiels :

1. La nature de notre exode et la fracture géographique :
Les diasporas indienne et coréenne, bien que mondiales, présentaient d’importantes concentrations et des voies de réinvestissement organisées. Notre exode a été différent, poussé par des vagues d’instabilité, les ajustements structurels et une quête d’opportunités qui nous ont dispersés aux quatre vents. Nous sommes profondément ancrés dans le tissu européen et américain, mais cela signifie aussi que *notre puissance économique est géographiquement balkanisée, à l’image du continent lui-même.*
Il nous manque un corridor financier unifié pour canaliser notre force collective.

2. L’emprise financière coloniale qui remonte à la Conférence de Berlin (et qui perdure!) :
C’est le point le plus douloureux. Alors que l’Inde et la Corée ont bâti des systèmes financiers souverains, nous restons rivés au spectre et "règles" du colonialisme. Le symbole ultime ? Les zones francs CFA.
Réfléchissez-y : le XOF et le XAF sont deux versions de la même monnaie coloniale, toutes deux indexées sur l’euro, mais elles ne sont pas interchangeables.
Une entreprise sénégalaise (XOF) ne peut pas facilement payer un fournisseur camerounais (XAF).
Il ne s’agit pas d’un système économique, mais d’un système de contrôle conçu pour privilégier les relations extérieures au commerce intérieur, intra-africain. Nos transferts de fonds transitent par ces réseaux bancaires correspondants obsolètes et coûteux, garantissant qu’une part importante de notre richesse s’échappe avant même de toucher le sol africain.

3. Le piège de l’investissement ou de la survie :
Sans infrastructure/rails de paiement souverain(e)s et efficace(s), notre argent est contraint d’être investi dans la consommation ou à transiter via des circuits d’investissement informels à haut risque. La diaspora indienne pouvait investir en toute confiance dans l’essor technologique indien, car l’infrastructure pour un investissement formel et sécurisé existait.

​ *Nous sommes condamnés à demeurer des "philanthropes pour nos familles," et non des architectes des bàtisseurs pour nos économies.*
Notre argent est apprécié pour son utilisation immédiate, mais le système est conçu pour résister à la transformation en capital productif et durable de nos transferts.

Ce n’est pas un système économique ; c’est un système de contrôle, qui priorise les liens externes et laisse notre richesse fuir par des réseaux obsolètes.

​Ce qui nous a manqué, c'est l'infrastructure souveraine pour nous déployer.

*Jusqu'à Aujourd'hui!*

​C'est pourquoi nous construisons *BreezyPay* avec *₳FRO* et les rails *RISER* . C'est la technologie de libération économique que nous attendions. Nous construisons les artères numériques pour contourner ce "cœur financier colonial".

■ *​₳FRO Stablecoin* : Une réserve de valeur panafricaine pour régler les échanges entre Dakar, Douala, Lagos et Nairobi, Bangui et Cape Town, etc. sans plus dependre, demander de permission externe.

​ ■ *RISER* : La sève numérique pour la ZLECAf (Zone de Libre-Échange Continentale Africaine), permettant à un entrepreneur de la diaspora d'investir à Kigali instantanément.

​Les $100 Milliards Fantômes sont sur le point de devenir une Fondation de 100 Milliards.

*Il ne s'agit point de blâmer notre passé. Il s'agit d'assumer une responsabilité radicale pour notre avenir.*

​Nous sommes un géant endormi. Et nous nous réveillons.

​Rejoignez le mouvement. Devenez les artisans et co-propriétaires de ces rails.

​ *Rejoignez le Programme Beta BreezyPay* : Façonnez l'avenir de la finance numérique africaine!
https://w0udp8wpzcn0-deploy.space.z.ai/
​Explorez la vitrine de SUREBANQA : https://d069y8ts9u41-deploy.space.z.ai
#legrandretouràlamèrepatrie #diasporarevolution #africanrenaissance #economicsovereignty #thetruththeydonttellyou #surebanqa #afro #riser

1 y

Il y a deux pièges bien trop répandus dans l'entrepreneuriat que je vois tous les jours :

1️⃣ Le syndrome de l’imposteur : cette sensation permanente de ne jamais être assez bon.

Tu doutes, tu hésites, et parfois tu t’empêches d’agir. Pourquoi ? Parce que tu penses que tu n’es pas légitime, que d'autres en savent plus.

2️⃣ Le procrasti-learning : une tendance à toujours vouloir en apprendre plus, consommer du contenu, lire des articles, regarder des webinaires...

Mais sans jamais passer à l’action. À force de vouloir tout savoir, tu te retrouves à... ne rien faire.

👉 Voici ce qui compte vraiment si tu veux faire passer ton business au niveau supérieur :

1️⃣ Créer du contenu avec de la vraie expertise

Créer du contenu qui résout des problèmes spécifiques, qui démontre ton expertise et qui inspire est ton atout numéro 1.

Établis un calendrier de contenu hebdomadaire avec des posts, des vidéos, des articles, et des newsletters qui apportent des solutions à ton audience.

2️⃣ Prospecter tous les jours avec valeur

La clé d'une croissance saine ? La régularité dans la prospection.

Et non, je ne parle pas de spammer LinkedIn avec des messages génériques.

Il s’agit d’apporter de la valeur avant de vendre quoi que ce soit.

Identifie chaque jour des prospects qualifiés et envoie-leur des messages personnalisés, en les aidant sur un point précis.

Tu te positionnes ainsi comme une solution plutôt que comme un vendeur insistant.

Cela demande du temps, mais ça crée des relations de confiance durables.


3️⃣ Développer ta notoriété par des partenariats stratégiques

Cherche à participer à des podcasts, organise des événements (en ligne ou en présentiel), développe des partenariats stratégiques avec des experts qui partagent ta vision et ton audience.

Plus tu te positionnes comme un acteur clé dans ton domaine, plus ta notoriété se développera rapidement.

4️⃣ Prendre la parole publiquement : Conférences, Webinaires, et Événements

Que ce soit à travers des conférences en ligne, des masterclasses ou des interventions en physique, prends la parole pour partager ton expertise.

Plus tu seras visible et authentique, plus les gens voudront te suivre et faire appel à tes services.

5️⃣ Automatiser les tâches secondaires et rester dans ta zone de génie
Optimise ton temps et délègue ce qui te prend trop de temps.

L’IA, les outils d’automatisation et les freelances te permettent de rester concentré sur ton cœur de métier : développer ton expertise, construire des relations et faire croître ton business.

Conclusion : Si tu veux réussir, arrête de procrastiner.

Focalise-toi sur les actions concrètes qui vont propulser ton business.

Le business se construit en faisant, pas en consommant.
Source: Publications LinkedIn de Yves-Alain Portmann

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THE $100B GHOST: WHY OUR REMITTANCES BUILD EVERYONE’S FUTURE BUT OUR OWN

(Indian remittances built tech parks. Korean investments created global brands. Our $100 billion? It disappears into fees and consumption. Here’s the painful truth they never tell us—and why this ends now.)

Let’s start with a painful comparison that should keep every one of us awake at night.

The Indian Diaspora: Their $110 billion in annual remittances didn't just buy groceries. It built Infosys campuses. It funded tech startups in Bangalore. It created a virtuous cycle where money sent home returned as investment in a global industry. Their diaspora, often highly educated and migrating in the post-independence "brain drain, became a strategic network, a "brain trust," funneling capital and expertise into targeted sectors.

The Korean Diaspora: After the Korean War (1953), their diaspora scattered, but with a fierce, unified purpose. Their investments didn't just support familiest, they helped build the Hyundais and Samsungs we all know today. They leveraged their presence in the West to open doors for Korean conglomerates, turning a war-torn nation into a global economic powerhouse in a single generation.

The African Diaspora: Our $100+ billion? It’s a ghost.

○ It’s the billions lost in 8.4% average fees—a brutal tax on our love and duty.

○ It’s capital that lands and is immediately consumed, trapped in a cycle of survival because the rails to transform it into investment don't exist.

○ It’s a story of fragmentation, where a doctor in London sending money to Nigeria and an engineer in Montreal supporting family in Cameroon are treated as isolated transactions, not as the collective economic force we are. 

Why This Chasm Exists: It’s Not Our Lack of Will, It’s the Architecture

This isn't about a lack of generosity or ambition. It's about structure. The difference lies in three critical areas:

1. The Nature of Our Exodus & Geographic Fracture:

The Indian and Korean diasporas, while global, had significant concentrations and pathways for organized reinvestment. Our exodus was different—driven by waves of instability, structural adjustment, and a search for opportunity that scattered us to the winds. We are deeply woven into the fabric of Europe and the Americas, but this has also meant our economic power is geographically balkanized, mirroring the continent itself. We lack a unified financial corridor to channel our collective strength.

2. The Colonial Financial Stranglehold (That Still Lives):

This is the most painful part. While India and Korea built sovereign financial systems, we remain tethered to the ghost of colonialism. The ultimate symbol? The CFA Franc zones.

Think about it: XOF and XAF are two versions of the same colonial currency, both pegged to the Euro, yet they are not interchangeable.

A business in Senegal (XOF) cannot easily pay a supplier in Cameroon (XAF). This isn't an economic system; it's a system of control designed to prioritize external ties over internal trade. Our remittances flow through these outdated, expensive correspondent banking networks, ensuring a significant portion of our wealth leaks out before it even touches African soil.

3. The Investment vs. Survival Trap:

Without sovereign, efficient rails, our money is forced into consumption or high-risk, informal investment channels. The Indian diaspora could confidently invest in India's tech boom because the infrastructure for secure, formal investment existed. We are asked to be philanthropists for our families, not architects for our economies. Our money is welcomed for its immediate spending, but the system is built to resist its transformation into lasting, productive capital.
 
They Call Us "The Diaspora." We Are the Unfinished Project of Liberation.

We are not a problem. We are the second-largest source of external finance for the continent. We are the doctors, engineers, entrepreneurs, and artists driving innovation in the West. We have the capital and the expertise.
 
What we have lacked is the sovereign infrastructure to deploy it.
 
Until Now! 

This is why we are building BreezyPay with ₳FRO and the RISER payment rails. This isn't just another fintech platform. It is the economic liberation technology we have been waiting for.
 
We are building the digital arteries to bypass the colonial financial heart that can no longer pump life into our economies. 

*   ₳FRO Stablecoin is not just a digital currency; it is a pan-African store of value, a tool to finally settle trades between Dakar and Douala, between Lagos and Nairobi, between Bangui and Cape Town, etc. without asking for permission from a European central bank.

*   RISER is not just a payment rail; it is the digital bloodstream for the AfCFTA, allowing a diaspora entrepreneur in Toronto to invest instantly in a tech startup in Kigali as easily as sending a text message. 

The $100B ghost is about to become a $100B foundation.
 
The conversation ends here. The building starts now.
 
This is not about blaming our past. It is about taking radical responsibility for our future.

We are not a failed diaspora. We are a dormant giant. And we are waking up.

 
Join the movement. Co-own the rails.

Join the BreezyPay Beta Program: Shape the Future of African Digital Finance!
https://w0udp8wpzcn0-deploy.space.z.ai/

Explore the SUREBANQA staging showcase: https://d069y8ts9u41-deploy.space.z.ai

#thegreathomecoming #diasporarevolution #africanrenaissance #economicsovereignty #thetruththeydonttellyou #surebanqa #afro #riser
https://www.linkedin.com/posts..../bomono-heron_fro-ca

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L’investisseur futé: la bulle de l’IA, c’est grave, docteur?

[...]Jeff Bezos, Mark Zuckerberg et Sam Altman s’entendent sur une chose: on peut maintenant qualifier de «bulle» la frénésie entourant l’intelligence artificielle (IA).[...]

https://www.journaldemontreal.....com/2025/10/11/linve