L’inclusion financière en Afrique : une opportunité pour les néo-banques

[...]L’inclusion financière demeure l’un des défis majeurs en Afrique, où une large part de la population reste non bancarisée ou sous-bancarisée. Dans un continent où environ 57% des Africains, soit environ 360 millions de personnes[1], n’ont aucun type de compte bancaire, y compris les comptes de mobile money,...[...]

[...]Une région dominée par le cash[2]

En Afrique subsaharienne, le paysage des transactions financières est encore largement dominé par les paiements en espèces. Environ 90% de toutes les transactions dans la région se font encore en espèces, ce qui montre la faiblesse de l’intégration des services bancaires traditionnels. Cette dépendance au cash est symptomatique d’un manque d’accès aux infrastructures financières modernes, ainsi que d’une méfiance persistante envers les institutions financières classiques

Les néo-banques, grâce à leurs plateformes digitales, peuvent contourner les contraintes liées à la distribution physique, offrant ainsi des services bancaires accessibles même dans les zones les plus reculées.

Cette lacune dans l’adoption des services financiers modernes laisse un espace immense pour les services bancaires numériques qui peuvent être intégrés directement dans les smartphones des utilisateurs, un appareil de plus en plus répandu sur le continent.[...]

https://digitalfrontiersinstit....ute.org/linclusion-f

Never give up !

Pourquoi il faut craindre Elon Musk : itinéraire politique d'un radicalisé
Elon Musk n'est plus seulement l'homme le plus riche du monde, il est aujourd'hui l'un des plus puissants et des plus dangereux.
Radicalisé, vice-président officieux des États-Unis, il est devenu le parrain de l'extrême-droite mondiale.
0000 Introduction
001:41 Elon, avant
001:43 Elon, le centriste fanboy d'Obama, pro climat, critique de Trump...
002:57 ... mais Musk déjà milliardaire libertarien
004:38 Avec le covid, la radicalisation à droite
0063 L'obsession de Musk pour le "woke mind virus"
008:46 Comment Twitter est devenu un paradis pour les droites extrêmes

00:17:45 Le plus grand porte-voix des idées d'extrême droite
00:25:13 Musk finance et promeut l'extrême-droite partout dans le monde
00:36:51 Un pouvoir immense, jusqu'à la géopolitique
00:39:57 Conclusion

🚨 Bybit victime du plus grand piratage de cryptomonnaies de l'histoire - 1,5 milliard de dollars volés

Le groupe nord-coréen Lazarus a infiltré Bybit pendant des mois.
Ils ont contourné la sécurité multisig avec une fausse interface utilisateur, incitant les signataires à approuver des transactions malveillantes.
Les fonds ont été blanchis à une vitesse fulgurante.

Décomposons tout :

🔹Aucune bourse n'est vraiment sûre. Si Bybit, la deuxième plus grande bourse de cryptomonnaies au monde en termes de volume, peut être piratée, qui sera le prochain ?
🔹Les multisigs et les portefeuilles froids ne sont pas infaillibles - Le maillon le plus faible ? L'erreur humaine.
🔹Sécurité > Croissance - Les utilisateurs devraient exiger de meilleures protections.

Bybit revendique la solvabilité. Mais peuvent-ils se rétablir ? Rétablir la confiance ? Empêcher la prochaine attaque ?

Feriez-vous toujours confiance à ByBit ?

🛂 🛂 🛂

🚨 Google est sur le point de généraliser le Bitcoin.

Cela pourrait être le plus grand jeu d'adoption de crypto-monnaies de l'histoire.

🔹 Lors du Hong Kong Bitcoin Tech Carnival, le spécialiste Web3 de Google, Kyle Song, a révélé que le géant de la technologie américain travaillait depuis un an à l'intégration du Bitcoin dans son écosystème.

🔹 Bientôt, les utilisateurs pourront accéder à leurs portefeuilles Bitcoin en utilisant leurs comptes Google, comme s'ils se connectaient à Gmail.

🔹 Google vise à rendre les paiements cryptographiques aussi intuitifs que n'importe quel système de paiement Web2, tout en utilisant des preuves à connaissance nulle et un cryptage avancé pour la sécurité.

S'ils y parviennent, cela changera tout.

Google compte plus de 4 milliards d'utilisateurs.

Imaginez que la moitié du monde ait soudainement un accès transparent au Bitcoin. Pas de portefeuilles compliqués, pas de phrases de départ déroutantes, juste une accessibilité pure.

Mais voici ma plus grande question :

S'agira-t-il d'un portefeuille à garde autonome ou Google se transformera-t-il en un autre intermédiaire financier centralisé ?

J'espère vraiment qu'ils emprunteront la voie de la garde autonome, où les utilisateurs seront vraiment propriétaires de leurs bitcoins, avec juste une expérience simplifiée alimentée par Google.

KYC ? Très bien. Mais obliger les utilisateurs à s'appuyer sur les banques traditionnelles pour convertir leurs cryptos en monnaie fiduciaire ? Ce serait un pas en arrière.

J'utilise les produits Google depuis aussi longtemps que je me souvienne, et je suis convaincu qu'ils peuvent rendre cela ridiculement facile s'ils le souhaitent.

La clé est le degré de contrôle qu'ils donnent aux utilisateurs.

Google sera-t-il le premier géant de la technologie à généraliser la crypto sans compromettre la décentralisation ?

Ou suivra-t-il le chemin de Facebook Libra et de Telegram Gram, c'est-à-dire à fermer ses portes avant même son lancement ?

Voyons si 2025 est enfin l'année où Bitcoin deviendra véritablement mondial.

Peut-on mieux répartir la richesse ? | 42 - La réponse à presque tout | ARTE
C’est une guerre méconnue en France, et pourtant encore vive dans les mémoires camerounaises. Entre 1945 et 1971, la France a mené une véritable « répression militaire » contre les mouvements indépendantistes dans le cadre de la « guerre de décolonisation » à laquelle elle a été confrontée au Cameroun, écrit un rapport remis aux présidents Macron et Biya, à la fin de janvier.
Pour Le Monde, l’historienne française Karine Ramondy, coprésidente de la commission mixte, chargée du volet recherche revient sur ces événements et nous explique le rôle de la France.

Cette guerre que vous ne connaissez probablement pas
C’est une guerre méconnue en France, et pourtant encore vive dans les mémoires camerounaises. Entre 1945 et 1971, la France a mené une véritable « répression militaire » contre les mouvements indépendantistes dans le cadre de la « guerre de décolonisation » à laquelle elle a été confrontée au Cameroun, écrit un rapport remis aux présidents Macron et Biya, à la fin de janvier.

Pour Le Monde, l’historienne française Karine Ramondy, coprésidente de la commission mixte, chargée du volet recherche revient sur ces événements et nous explique le rôle de la France.

Mince!